Limiter les impacts liés aux loisirs

Les usages récréatifs peuvent impacter les populations d’espèces pêchées ou la qualité des milieux recevant les rejets. L’application de bonnes pratiques par les plaisanciers et les pêcheurs de loisir participe à la prévention de ces impacts potentiels, qui justifient par ailleurs l’existence d’une réglementation spécifique aux activités de loisirs.

Les loisirs dans le cycle de l’eau

Les prélèvements d’eau pour les loisirs se limitent aux besoins d’eau potable des équipages des bateaux de plaisance. En revanche, la pêche de loisir implique des captures d’espèces en quantités variables. Les rejets dans le milieu concernent les eaux usées déversées depuis les bateaux, ainsi que les rejets accidentels de substances et de déchets.

Les loisirs

De nombreuses activités récréatives se déroulent dans les milieux aquatiques ou bénéficient de leur proximité. Loisir privilégié du littoral, la baignade concerne aussi les plans d’eau et certaines rivières. Elle y côtoie les activités nautiques, motorisées ou non, comme la navigation de plaisance. La pêche récréative est pratiquée dans tous les milieux par les pêcheurs de loisir, depuis les torrents de montagne jusqu’aux eaux côtières.

Limiter les impacts liés au transport

Le transport fluvial et maritime peut impacter le niveau des ressources en raison des prélèvements d’eau ou la qualité des milieux recevant les rejets et subissant les aménagements. L’application de bonnes pratiques participe à la prévention de ces impacts potentiels, qui justifient par ailleurs l’existence d’une réglementation spécifique aux deux types de transport.

Le transport fluvial et maritime dans le cycle de l’eau

Contrairement au transport maritime, le transport fluvial peut nécessiter des prélèvements d’eau pour alimenter les canaux artificiels. L’eau ainsi prélevée dans des rivières est restituée intégralement au milieu naturel. Les seuls rejets impliqués par le transport fluvial et maritime sont les eaux usées des équipages, mais des rejets accidentels peuvent survenir. Par ailleurs, les activités de transport s’accompagnent d’une modification parfois forte des milieux.

Le transport fluvial et maritime

Le transport de marchandises et de personnes par bateau est une activité historique qui s’est fortement développée au siècle dernier. Le transport fluvial se fait sur les voies navigables, constituées de canaux et de rivières canalisées. Intervenant en pleine mer, le transport maritime reste connecté aux eaux côtières par les ports implantés sur le littoral.

Limiter les impacts liés à la pêche professionnelle et l’aquaculture

Les activités de pêche et d’aquaculture peuvent impacter les populations d’espèces ou la qualité des milieux. L’application de bonnes pratiques par les pêcheurs et les aquaculteurs participe à la prévention de ces impacts potentiels, qui justifient par ailleurs l’existence d’une réglementation spécifique à la pêche et à l’aquaculture.

La pêche professionnelle et l’aquaculture dans le cycle de l’eau

Les prélèvements d’eau pour la pêche professionnelle et l’aquaculture sont très restreints. En revanche, ces activités impliquent des captures d’espèces en grande quantité. Les rejets d’eau effectués dans la nature ne concernent a priori que les élevages en bassin, mais ils peuvent être concentrés en aliments et médicaments destinés aux poissons. Ces activités peuvent aussi être à la source de déchets aquatiques et marins.

La pêche professionnelle et l’aquaculture

La pêche professionnelle et l’aquaculture sont des activités historiques qui se sont fortement développées au XXe siècle. De nombreux types de pêches se pratiquent dans les eaux douces et en mer. Les activités aquacoles - essentiellement la pisciculture et la conchyliculture - s’effectuent sur le littoral mais aussi en bassins d’eau douce et en étangs.

Limiter les impacts liés à l’agriculture

Les activités agricoles peuvent impacter le niveau des ressources en eau ou la qualité des milieux recevant les rejets d’eaux épurées. L’application de bonnes pratiques agricoles participe à la prévention de ces impacts potentiels, qui justifient par ailleurs l’existence d’une réglementation spécifique aux usages agricoles.